Pour obtenir une eau plus pure et mieux protéger la source, l’ouvrage de captage est construit à environ deux mètres de profondeur. Juste en amont du caisson de l’ouvrage, des tuyaux perforés sont recouverts de pierres de différentes grosseurs et d’une membrane géotextile. L’eau est donc filtrée à travers les roches, pénètre ensuite dans les tuyaux perforés puis dans le coffrage de raccordement (caja de reunion) pour emprunter la tuyauterie qui mène au village.
Toujours fier d’être membre des Ailes de l’Espérance
Chez vous, capter l’eau d’une montagne ou d’ailleurs est une vraie spécialité. Je me souviens, par chez moi, nous pouvions trouver une veine d’eau avec une branche de… je ne me souviens plus de son nom… mais aussi étrange que cela peut paraître, cette branche se roulait sur elle-même lorsqu’elle localisait une veine d’eau. Mais chez vous, il faut au moins deux mètres de profondeur. Quel tour de force! On peut imaginer le travail avant d’en arriver à obtenir de l’eau courante. Incroyable! Et nous… qui la gaspillons!
Félicitations pour ce courage incroyable. Qu’ils sont admirables ces gens! Tout cela pour l’amour de leur famille sans aucun doute. Ils sont extraordinaires. Félicitations à toute l’équipe; vous les épaulez de votre support extraordinaire. En leur nom, merci. reconnaissant.
Comme toujours, les projets incroyables se font par la volonté et la détermination des Péruviens. Bravo André et les Ailes de l’Esperance pour tout ces accomplissements.